C’est toi ma maman ? d’Alison Bechdel
Quatrième de couverture : Alison Bechdel tourne le scanner ravageur de sa lucidité et de son humour vers sa mère : lectrice vorace, mélomane invétérée, ardente actrice amateur. Mais aussi, épouse infortunée d’un gay du placard, mère dont les aspirations artistiques ont bouleversé l’existence de sa fille, mais qui a cessé de la toucher et de l’embrasser à l’âge de sept ans. Retour sur les replis d’une enfance singulière.
Nagasaki d’Agnès Hostache, d’après le livre d’Eric Faye
Quatrième de couverture : Shimura-san vit seul dans une maison silencieuse qui fait face aux chantiers navals de Nagasaki. Cet homme ordinaire rejoint chaque matin la station météorologique de la ville en maudissant le chant des cigales, déjeune seul et rentre tôt dans une retraite qui n’a pas d’odeur, sauf celle de l’ordre et de la mesure.
Les Mémoires d’un chat de Hiro Arikawa
Quatrième de couverture : Un chat de gouttière au parler franc et rompu au langage des humains a pris ses quartiers dans le parking d’un immeuble de Tokyo. Lui qui, pour rien au monde, ne troquerait sa liberté se fait un jour percuter par une voiture et se voit contraint d’accepter la perspective d’une cohabitation durable avec Satoru, un locataire, qui le soigne et lui attribue un nom – Nana.
Cinq ans plus tard, des circonstances imprévues obligent Satoru à se séparer de Nana. Désireux de lui trouver un bon maître, il se tourne vers d’anciens camarades d’études, disséminés aux quatre coins du Japon. Commence alors une série de voyages et de retrouvailles qui sont pour Nana autant d’occasions de découvrir le passé de Satoru et de nous révéler maints aspects de la société japonaise.
Fragile/s de Nicolas Martin
Quatrième de couverture : « Nous étions mille cinq cents. La première fournée. Les mères pondeuses du futur de la Nation. L’espoir non pas d’une civilisation mourante, mais d’un régime fascistoïde qui a réussi à développer un programme de fertilisation eugéniste. »
Dans une France où la fertilité s’effondre et la majorité des naissances sont touchées par le syndrome de I’X fragile, Typhaine, élue par le très sélectif Programme expérimental de génoembryologie grâce à la position de son mari, accouche d’un garçon sain. Mais l’étonnante progression cognitive de son fils est bien vite aussi inquiétante que le contrôle dont font l’objet les mères, alors que le pays bascule dans la dictature…
City of Darkness réalisé par Soi Cheang
Synopsis : Dans les années 80, le seul endroit de Hong Kong où la Loi Britannique ne s’appliquait pas était la redoutable Citadelle de Kowloon, une enclave livrée aux gangs et trafics en tous genres.
Fuyant le puissant boss des Triades Mr. Big, le migrant clandestin Chan Lok-kwun se réfugie à Kowloon où il est pris sous la protection de Cyclone, chef de la Citadelle. Avec les autres proscrits de son clan, ils devront faire face à l’invasion du gang de Mr. Big et protéger le refuge qu’est devenue pour eux la cité fortifiée.
Le Syndrome de l’imposteur : Parcours d’une interne en psychiatrie de Claire Le Men
Quatrième de couverture : Lucile Lapierre, jeune interne en médecine en proie à un sentiment maladif d’illégitimité, est affectée un peu par hasard à une unité pour malades difficiles d’un hôpital psychiatrique. Dans ce récit initiatique inspiré de son expérience personnelle, Claire Le Men dresse un portrait juste et drôle de l’institution psychiatrique et des personnages qui la peuplent. Ce faisant, elle fait voler en éclat nos présupposés sur la folie.
Fun Home d’Alison Bechdel
Quatrième de couverture : Une petite ville de Pennsylvanie, un salon funéraire : le Fun Home. Alison grandit dans ce cadre peu banal, entre secrets de famille et blessures cachées. Jusqu’à ce qu’elle découvre son homosexualité et en même temps celle du tyran charmant qu’est son père.
Cette plongée vertigineuse dans les non-dits d’une famille américaine est le prétexte à revisiter l’une des plus grandes révolutions du XXe siècle – celle des genres sexuels.
Triste Tigre de Neige Sinno et autres reflexions
Quatrième de couverture : J’ai voulu y croire, j’ai voulu rêver que le royaume de la littérature m’accueillerait comme n’importe lequel des orphelins qui y trouvent refuge, mais même à travers l’art, on ne peut pas sortir vainqueur de l’abjection. La littérature ne m’a pas sauvée. Je ne suis pas sauvée.
2060 de Lauren Bastide
Quatrième de couverture : Le premier roman de la créatrice du podcast La Poudre
22 juin 2060. Après des siècles à vivre comme si demain n’existait pas, l’humanité se prépare à une Fin du Monde, rebaptisée FDM comme pour coniurer l’inéluctable.
Durant son ultime journée, heure après heure, l’héroïne va revivre les combats féministes et écologistes qui ont rythmé sa vie.
Dans une ambiance à la fois mélancolique et poignante, qui évoque Charlotte Perkins Gilman ou Virginia Woolf, cette fiction trouve un équilibre subtil entre anticipation, littérature et politique.
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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